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VAINIO, Juha Finlande 1969 - (10/05/1938 - 29/10/1990) (1969)

X Compositeur de la chanson finlandaise de 1969.
VAN DEN BOS, Conny Pays-Bas 1965 - (16/01/1937 - 07/04/2002) (1965)

Conny van den Bos (photo © www.connyvandenbos.com)

Conny est née le 16 janvier 1937, sous le nom Jacoba Adriana Hollestelle, à La Haye. Elle débutera dans un ballet, durant son temps libre, puis au AVRO-Kinderkoor de Herman Broekhuizen. Les œuvres sont régulièrement diffusées sur les ondes radio.

Fin des années 50, Conny se marie avec Wim van den Bos, et naîtra Karin. C'est à cette époque que Conny commencer à obtenir de plus en plus de reconnaissance, elle participe à deux programmes radio pour les jeunes talents (KRO's Springplank et AVRO Nieuwe Oogst). Mais, elle préfère favoriser son rôle de mère et femme au foyer que de chanteuse.

En 1961, enregistre deux chansons sur un LP pour établir un templin, et que le public puisse faire sa connaissance. Elle représente également les Pays Bas au Festival de Knokke et obtient un contrat chez Phonogram. Ce contrat stipulait que Conny devait enregistrer deux disques par an, malgré le succès qu'ils peuvent obtenir ou non.

Le premier single paraîtra milieu 1961 avec "Ninitchka" et "Adieu", une version hollandaise de "Mon Dieu", une chanson d'Edith Piaf. Plus tard (1978), Conny enregistra quelques chansons en hommage à la chanteuse française Edith Piaf, notamment "Hymne à l'amour", "Milord", "La vie en rose", "Les mots d'amour", "non, je ne regrette rien", Les trois cloches" et "Mon Dieu"… Elle fait également ses débuts à la télévision, dans le "Bruce Low-Show" (sur VARA).

Le 27 février 1962, Conny participe à la sélection hollandaise pour le Concours Eurovision de la Chanson qui se déroulait à Luxembourg, avec la chanson "Zachtjes" et termine à la 3e place. Quelques semaines plus tard, elle enregistrera un deuxième single, avec une chanson d'Edith Piaf "Mijn hart bemint teveel" et "Loflied der liefde" (Hymne à l'amour), mais n'obtiendra pas de succès. Phonogram lui fera enregistrer des chansons de deux auteurs allemands connus, mais ne réussira pas à trouver le succès, pire, Conny trouve que c'est une honte pour elle.

En 1963, le vent tourne avec Annie M.G. Schmidt, qui lui écrit le texte hollandais de "Where have all the flowers gone", une chanson de Pete Seeger, pour Marlene Dietrich qui fut un grand succès. Le single "Waar zijn al de bloemen toch" est édité au printemps et obtient de bons chiffres de vente. Les autres disques qui suivront en 1963 et 1964 ne seront pas aussi moindre. Entre temps, Conny s'est établie une réputation qui l'emmèneront vers une série d'émissions "Zeg maar Conny", produite par NCRV.

En 1965, Conny est à nouveau parmi les candidats des éliminatoires, pour l'Eurovision, avec cinq artistes qui lutteront en finale. Chaque artiste interprétait trois chansons, dans le courant de la semaine. Conny est passée le 3ème soir, avec les chansons "Laat me alleen", "Het is genoeg" et "Van de week". La chanson "Het is genoeg" remporte les suffrages pour être en finale, avec les quatre autres concurrents et la chanson que le public aura choisi. La présentatrice de toutes les émissions était Teddy Scholten (Grand Prix Eurovision 1959). Conny remporte la finale hollandaise avec "Het is genoeg".

Le 17 mars, Conny part pleine de courage vers Naples et obtient une onzième place, sur 18 pays. Si ce concours ne lui a pas offert de victoire, elle récolte beaucoup de travail et participe à différents festivals, à Sopot (Pologne) et spilt (Yougoslavie). A Sopot en août, Conny interprète trois chansons. Les candidats doivent chanter dans plusieurs langues. Le 5 août, la journée internationale avec "Speel toch open kaart" ; le 6 août, la journée polonaise avec "Taksówka na dworzec" (Een taxi naar het station) ; le 7 août, la journée 'une chanson ne connaît pas de frontière' avec "Trop tard", de Charles Aznavour. Elle ne gagne pas, mais les titres seront sur le LP du Festival, édité ultérieurement.

Le mariage entre Conny et Wim commence à donner des signes de faiblesse. Son mari trouve que sa femme donne plus de temps à sa carrière qu'à son rôle de femme au foyer. Conny garde son nom (Van den Bos) après la séparation pour continuer sa carrière, qui s'était faite avec celui-ci. Le 6 février 1966, Conny se marie avec Ger Faber, du "Leedy Trio".

Durant ce temps, Conny entre en studio, pour enregistrer un nouveau disque. "Met wie ik hem zie" (la version hollandaise de "Capri c'est fini", de Hervé Vilard datant de 1965).

La grande percée viendra avec le titre "Ik ben gelukkig zonder jou", qui entrera en top 10. Ce succès, Phonogram ose le reprendre sur un LP avec Conny. Sur ce même disque, un autre grand hit "Paleis met gouden muren".

Au printemps 1967, Conny a enfin un succès raisonnable avec le single "Mijn man". La société d'édition trouve également un peu de temps pour promouvoir Conny à l'étranger, notamment en Allemagne avec "Der Mann meiner Wahl" dans le 'Caterina Valente Show' et Royaume Uni avec "You're closer to me". Malheureusement, les espérances ne sont pas au rendez-vous. En août 1968, la chanson "Where are they now" sera diffuse aux Etats Unis et Canada, et n'obtiendra pas mieux que la 31ème place du hit parade dans le Colorado. Sa carrière internationale n'est pourtant pas stoppée pour autant. Le nom Van den Bos est modifié en Vandenbos. Conny est enchantée, car elle ne considère pas ce nom comme un nouveau nom d'artiste, mais comme le nom de son ex-mari. Après une invitation durant la tournée de Cliff Richard, elle se replonge en studio pour cinq chansons en anglais. Deux sortiront en janvier 1969 aux Pays-Bas et Royaume Uni. Durant cette tournée Conny est enceinte de plusieurs mois et doit retourner aux Pays-Bas, pour mettre au monde Jeroen, son fils.

En 1970, Phonogram donnera un nouveau tournant musical à la carrière de Conny. Rik van den Linden, qui était avec "Ekseption", est appelé pour composer deux chansons qui seront sur le nouveau disque. Mais Conny n'est pas très enchantée des textes, et souhaite un autre répertoire. Après un titre avec le label Van Bovema, Conny se fait silencieuse, voire être retombée dans l'anonymat.

En janvier 1973, la firme Basart négociera avec Conny. Durant des mois, son répertoire sera écrit et désapprouvé, jusqu'en 1974 où un LP sortira avec notamment "Een vrouw van deze tijd". Un titre qui parle non seulement de Conny en tant qu'être humain, mais également Conny la chanteuse. Sur le LP, le répertoire diffère totalement et se retrouve ramenée en arrière, dans les années 60 ! Si le premier single "Tjeukemeer" a pu trouver un certain succès, c'est essentiellement au fait de la diffusion en radio. Le deuxième single avec "Een roosje, m'n Roosje" sera vite mis en vente et trouvera un meilleur succès, peut-être le meilleur des années 70.

Agréablement surprise par ce succès, Conny continuera sur cette lancée, recevant des récompenses, notamment la Harpe d'Or, en 1977 et obtiendra encore du succès avec un nouveau LP en fin de la même année.

En 1978, Conny reçoit un trophée pour ses reprises de chansons d'Edith Piaf. Elle enregistre un medley des titres les plus connus de la chanteuse française, pour lui rendre un hommage…

Cette même année, la firme Basart, où est sous contrat Conny, fait faillite et se retrouve à nouveau avec Phonogram. Le LP sur lequel elle était peut enfin être terminé. En avril 1979, il est enfin édité, même si Conny n'est pas enchanté de revenir dans le giron Phonogram.

En 1979, Conny est à l'antenne du programme radio de TROS avec André van Duin, pour présenter "Close up". Elle reçoit le "Productieprijs" (Prix de la production) pour la seconde fois en trois ans, et est encore proclamée femme de l'année en Belgique.

Dans les années 80, Conny se met au répertoire américain, notamment avec les chansons de Janis Ian, qu'elle avait apprit à connaître durant plusieurs années et une solide amitié s'est tissée ; pouvant même aller jusqu'à enregistrer un duo "Don't leave tonight", qui se révèlera être un grand succès et le LP se vendra très bien. Conny en profite pour se mettre à la recherche d'une autre firme, pour quitter Phonogram et frappe à la porte de EMI, avec à la clef un contrat de trois ans, et fin 1981 paraît le premier LP "Vogelvrij", qui ne sera pas facilement mis en vente dans un grand laps de temps. La société d'édition étant surtout intéressée par ce qui est fait à court terme.

En 1982, Conny recevra le "Gulden vedel", le prix remis annuellement par l'association néerlandaise des professions de danse, et montrera son talent de comédienne dans le film pour le jeune public "Knokken voor twee", qui sortira en salle en décembre.

En 1983, son disque "Net als iedereen" ne fait pas mieux que "Vogelvrij" dans les ventes, mais bien assez pour que EMI donne sa confiance à Conny pour lui inspirer un suivant LP. Quelques singles sont aussi enregistré, mais en 1984 les portes se referment.

Fin 1986, les auditeurs peuvent entendre "Wat is nou geluk". Dans un entretien, on lui demande si un nouveau LP est à venir. Conny répond que ce sera en fonction des ventes du single. Il ne se vend pas bien, mais pourtant, un nouvel album paraît en mai 1987 "De mooiste dag", ainsi que sur CD ce qui est à cette période, un support assez nouveau. Le nouveau single "Wat ben ik blij dat er liefde bestaat" sera finalement un succès.

Dans les années 80, Conny va diminuer ses enregistrements pour se consacrer à la présentation de programmes radiophonique, sur Radio Utrech et Radio Noordzee Nationaal. Elle reprendra les enregistrements en 1992, avec un CD et une tournée, et se reconcentre sur la présentation radiophonique jusqu'en janvier 1995, où un autre CD est édité et vendu à 50.000 exemplaires en avril.

En 1998, l'état de santé de Ger, le mari de Conny empire. Il décèdera le 31 juillet après 30 ans de vie commune. Conny est anéantie et aura du mal à reprendre une vie normale, mais tente assez rapidement de remonter la pente, en reprenant le micro de son programme radio. Mais, la société veut changer la programmation et son image. Presque tous les présentateurs sont licenciés, sans aucune exception pour Conny. Malgré cela, son programme restera celui qui fut le plus écouté, et n'obtiendra pas gain de cause après une longue lutte judiciaire. Son travail de radio se poursuit, mais sur Radio West, et à la télévision, dans "Zo Vader, zo zoon" (Tel père, tel fils).

En 2000, Conny obtiendra une "place" dans le "Rotterdamse Hall of Fame" et le 30 septembre 2001, fêtera ses 40 ans de carrière, avec un concert grandiose au 'Scheveningse Kurhaus" et l'édition d'un CD avec ses chansons favorites et personnelles. A l'issue de ce concert de jubilé, elle est honorée en étant nommée 'Chevalier de l'Ordre de Oranje Nassau'.

Malheureusement, ce concert de jubilé apparaît comme son concert d'adieu. Le 7 avril 2002, Conny van den Bos décèdera après une courte maladie qui l'aura retenu alitée.
Biographie extraite de www.connyvandenbos.com, photo © www.connyvandenbos.com

VAN DER LINDEN, Dolf Pays-Bas - 22/06/1915 - 30/01/1999) (base de données) (Pays Bas)

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Dolf van der Linden fut chef d'orchestre pour l'Eurovision 1958 à Hilversum et 1970 à La Haye, et pour les chansons néerlandaises de 1957, 1958, 1959, 1960, 1961, 1962, 1964, 1965, 1966, 1967, 1968, 1970 et 1971, et la chanson luxembourgeoise, suédoise, belge, allemande de 1958, ainsi qu'irlandaise de 1970. En 1945, il créa le "Metropole Orkest", inspiré par le chef Paul Whiteman durant un concert de jazz. Il est décédé fin janvier 1999.

VAN HEMERT, Willy Auteur Pays-Bas - (29/03/1912 - 26/06/1993) (Pays Bas)

Willy van Hemert

Willy van Hemert (de son vrai nom Willem Catharinus van Hemert) est né à Utrecht (Pays Bas) le 29 mars 1912.

Willy est surtout connu aux Pays Bas comme "l'homme des feuilletons". Il a écrit, élaboré et mis en scène un grand nombre de productions, notament "De glazen stad", d'après un livre de P.J. Risseeuw, "Bartje" d'après le livre de Anne de Vries, "De kleine waarheid" (d'après le livre trilogie de Jan Mens), et "Dagboek van een herdershond" basé sur une trilogie du prêtre Jacques Schreurs.

Willy van Hemert est le père de hans van Hemert (actif dans la musique), Ruud van Hemert (producteur et metteur en scène) et Ellen van Hemert. Il est également le père du comédien Coen Flink.

Il fut également, au Concours Eurovision de la Chanson, co-auteur de la chanson hollandaise en 1957, 1959, 1960 et son fils Hans co-auteur de la chanson hollandaise en 1972, 1974 et 1976.

Durant les dernières années de sa vie, il a habité dans le village belge de Hechtel (Belgique). Il repose dans le cimetière général au Woensbergweg, avec sur ta tombe, une sculpture représentant sa tête. Il est décédé le 26 juin 1993.

VAN OTTERLOO, Rogier Pays-Bas - (11/12/1941 - 29/01/1988) (base de données)

Rogier van Otterloo (photo © www.rogiervanotterloo.nl)

Le père de Rogier, Willem van Otterloo, était célèbre dans le monde entier et dirigeait le "Haagse Residentie Orkest". Le talent est passé de père en fils, faisant partie très jeune d'une chorale, qu'il quittera très rapidement.

Le Dutch Swing College Band de peter Schilperoort et les instruments exotiques dans le domicile familial à formé une futur inspiration pour jouer de la batterie. En 1955, Rogier jouait du tambour dans le "Orion Jazz Band" et en 1958 débutait en pianiste avec Edwin Rutten.

En 1962, Rogier termine ses examens au lycèe et joue même du tambour au "Koninklijke Militaire Kapel. A la sortie du service militaire, il se dirige vers l'école de musique d'Amsterdam pour devenir compositeur et arrangeur, écrivant des musiques de quelques pièces de théâtre ("Iphigeneia in Tauris" et "Peer Gynt"). En 1966/67, il sera au pianot du "Lurelei Cabaret" (avec Jasperina de Jong, Eric Herfst, Gerard Cox et Marjan Berk). Il composera la musique des chansons "Broekje in de branding", "God is niet dood", "Wij zijn de jongeren".

Dans un entretien pour un journal, il dira que son père lui a beaucoup appris, mais qu'il y a quelqu'un d'autre qui lui a appris énormément et qu'il pourrait appeler son père musical, Jules de Corte. Il avouera même qu'il a pour cet homme, une admiration infinie. Un LP intitulé "Miniaturen" sera le résultat du travail entre eux deux. Dans cette même période, il réalisera brillamment encore plus d'arrangements, avec Rita Reys, Wim Overgaauw, Pim Jacobs, Thijs van Leer, Frits Lambrechts, Frans Halsema et 'Toots' Thielemans.

Dans la plupart des cas, ses compositions ont été réussi par le travail de Dick Bakker, qui lui succédera à la tête du Metropole Orkest.

Vers la fin des années 60, le réalisateur Ruud Jabobs négociera avec le directeur de la firme d'édition CBS, la possibilité pour le 'Zangtrio' (Lenny Mulden avec les sœurs Letty et Marijke Voskuy) de faire un album avec la musique de Jimmy Webb, et les arrangements de Rogier van Otterloo.

Dans les années 70, il continuera à faire des arrangements, notamment pour "Music all-in", "Rita Reys Sings Michel Legrand", "Rita Reys sings Burt Bacharach" et "Visions". Il ira même jusqu'au classique, avec le "Troisième Concert Brandenbourgeois en G", joué par Karel Richter et le "Münchener Bachverein".

Rogier avait également beaucoup d'admiration pour la chanteuse Cleo Laine, Miles Davis, le trio Van Oscar Peterson et l'orchestre de Quincy Jones.

Il poursuivra son travail et deviendra pour plusieurs générations, comme le compositeur néerlandais ayant le plus réussi les musiques de films. Les arrangements pour les films "Turks Fruit", "Soldaat van Oranje", "Keetje Tippel", "Grijpstra en De Gier", "Help de Dokter Verzuipt", "Juliana 70" restent plus dans le souvenir que les films eux-mêmes. En 2003, Hazelhoff Roelfzema avait écrit à Rogier, au sujet du film "Soldaat van Oranje", indiquant que le film avait obtenu du succès grâce à ses arrangements musicaux.

Il participera à cinq Concours Eurovision de la Chanson, en qualité de chef d'orchestre ; en 1980 pour la direction musicale et pour accompagner "Amsterdam", 1981 pour "Het is een wonder", 1982 pour "Jij en ik", 1984 pour "Ik hou van jou" et 1987 "Rechtop in de wind".

Rogier van Otterloo (né à Bilthoven-Utrecht le 11 décembre 1941) deviendra le Chef d'orchestre du Metropole Orkest en 1980, en succédant à Dolf van der Linden, ce dernier avait atteint l'âge de 65 ans. Rogier décèdera 8 ans plus tard, le 29 janvier 1988 d'un cancer.
extraits de la biographie et photo www.rogiervanotterloo.nl
VAN HULSE, Eric Belgique 1976 - (06/06/1941 - 04/03/2012) (1976)

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Eric Van Hulse était le parolier de Pierre Rapsat, et auteur de "Judy & Cie", titre qui avait représenté la Belgique à l'Eurovision 1976, à La Haye.

VENNER, Bamses Danemark 1980 - (07/02/1947 - 01/01/2011) (1980)

X Représentant du Danemark en 1980. (né Flemming 'Bamse' Jørgensen)
VIDALIN, Maurice Auteur Luxembourg 1961 et 1962 - (1924 - 1986) (1961) (1962)

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Maurice Vidalin, né à Paris en 1924  et mort à Rueil-Malmaison en 1986, est un auteur, parolier français. Il a souvent écrit ses textes sur des musiques de Jacques Datin (1920 - 1973). Dès 1954, ils écrivent pour Juliette Gréco une de leurs premières œuvres, On en dira (Marc Lanjean coécrit les paroles avec Vidalin). A partir de 1957, leur fructueuse association donne de grands succès comme Zon zon zon interprété par Colette Renard et Michèle Arnaud (1957), Julie par Marcel Amont (1957), Les Boutons dorés écrit pour Jean-Jacques Debout et repris par Barbara en 1959.

Parmi ses nombreux interprètes, on peut citer : Gilbert Bécaud, Michel Fugain, France Gall, Juliette Gréco, Françoise Hardy (Le Temps des souvenirs), Gérard Lenorman, Mireille Mathieu.

En 1961, Jean-Claude Pascal, représentant le Luxembourg, a remporté le Grand Prix du Concours Eurovision de la chanson avec "Nous les amoureux", et Camillo Felgen, également pour le Luxembourg, une 3e place avec "Petit Bonhomme", du tandem Vidalin-Datin.

VILLA, Claudio Italie 1962 et 1967 - (01/01/1926 - 07/02/1987) (1962) (1967)

Claudia Villa (1963)

Claudio Villa est né à Rome le 1er janvier 1926. Il fut, avec Domenico Modugno, celui qui a remporté le plus de victoires au Festival de San Remo, en 1955, 1957, 1962 et 1966. En 1962, il représente l'Italie à l'Eurovision avec la même chanson du Festival de San Remo, "Addio addio", terminant 9ème sur 16 candidats, alors qu'en 1967, avec la chanson "Non andare più lontano", il terminait onzième sur 17 pays. Il remportant également deux éditions du 'Canzonissima' en 1964 avec "O sole mio", en 1966 avec "Granada" et en 1963, au Festival de Naples avec "Jamme ja", avec Mirna Doris.

L'annonce de son décès fut annoncée en direct à la télévision, durant la dernière émission du Festival de San Remo, il est mort le 07 février 1987, à Rome.

VLAHOVIC-BRNOBIC, Helga Présentatrice Eurovision 1990 - (28/01/1945 - 27/02/2012) (1990)

Helga Vlahović-Brnobić

Présentatrice du Concours Eurovision de la Chanson 1990 à Zagreb.

Pour Oliver Mlakar, qui présenta le Concours Eurovision de 1990 avec Helga, elle était « pleine d'optimisme et elle avait la garantie d'une belle carrière dès le début ». Helga et Oliver avait en commun la présentation d'une autre émission, plus dans le divertissement avec la version yougoslave d'« Intervilles ».

Helga laisse une carrière de 42 années, à JRT/RTZ de 1964 à 1991, puis HRT de 1991 à 2006, et 30 années à commenter le Concert de Nouvel An (lire l'article).
VUKOV, Vice Yougoslavie 1963 et 1965 - (03/08/1936 - 24/09/2008) (1963) (1965)

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Représentant la Yougoslavie en 1963 et 1965.

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mise à jour de la page le samedi 25 mai 2013
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