P | P | |
PAIÃO, Carlos | Portugal 1981 - (01/11/1957 - 26/08/1988) (1981) |
|
X |
Carlos Paião (de
son vrai nom Carlos Manuel de Marques Paião) était né le 1er novembre
1957 à Coimbra (région Centre du Portugal), dans la ville
universitaire la plus ancienne du Portugal. Il décède le 26 août 1988
à Rio Maior (District de Santarém, Portugal).
En 1981, il représente le Portugal à Dublin, avec "Playback", se classant 18e ex-aequo avec la Turquie, sur 20 autres candidats. Producteur, accordéoniste, il avait également à son actif près de 500 chansons dont "Pó-de-arroz", "Souvenir de Portugal", "Vinho do Porto" (4e en sélection nationale du Portugal 1983), "Zero a zero", "Cinderella", "Marcha do Pião das Nicas", "Telefonia nas ondas do ar" et "Ga-gago". En 1983, il reçoit son diplôme de médecin, mais sa grande passion, c'est la musique... Il est décédé le 26 août 1988, dans un accident de la route. Il rentrait d'un concert. |
|
PAGGI, Fernando | Suisse - (03/07/1914 - 14/01/1973) (1956) (Suisse) |
|
X | Chef d'orchestre pour le 1er Concours Eurovision de la Chanson en 1956, à Lugano, chef d'orchestre pour les chansons suisses 1956, 1961, 1964, pour la chanson néerlandaise 1956 et allemande 1956. | |
PALMEN, Annie | Pays-Bas 1963 - (19/08/1926 - 15/01/2000) (1963) |
|
X |
Annie Palmen est
née en 1926 à Ijmuiden (Hollande Septentrionale, Pays Bas) et est
décédée en 2000 à Beverwijk (dans la même province).
Elle avait représenté les Pays Bas, en 1963 à Londres, avec "Een speeldoos", terminant 13e ex-aequo (avec la Norvège, Finlande et Suède) sur 16 autres candidats. |
|
PARAMOR, Norrie | Chef d'orchestre Royaume Uni 1968 - (15/05/1914 - 09/091979) (1968) |
|
X |
Norrie Paramor fut le chef d'orchestre de l'Eurovision 1968 à Londres, et qui accompagna "Congratulations", la chanson anglaise au Concours Eurovision de la Chanson 1968, interprétée par Cliff Richard. Il est décédé le 9 septembre 1979 d'un cancer. Il était compositeur, arrangeur et chef d'orchestre. | |
PASCAL, Jean-Claude | Luxembourg 1961 et 1981 - (24/10/1927 - 05/05/1992) (1961) (1981) |
|
|
Jean-Claude Pascal (né Jean-Claude Villeminot le 24 octobre 1927 à Paris) a su mener sa carrière à bien, tant en qualité de comédien que chanteur.
Issu d'une famille d'industriels du textile,
Jean-Claude Villeminot crée après la Seconde Guerre mondiale des
foulards pour Hermès et travaille comme styliste pour le couturier
Christian Dior. Il s'oriente ensuite vers le théâtre et conçoit les
costumes de Don Juan, pièce de Molière mise en scène par Louis Jouvet
au Théâtre de l'Athénée. Intéressé par la comédie, il suit les
cours d'art dramatique de René Simon et débute sur les planches en
1949. Il prend alors le nom de Jean-Claude Pascal.
Le cinéma : Jean-Claude Pascal est l'archétype du séducteur romantique cher au cinéma français des années 1950, avant l'avènement de la Nouvelle Vague. Son physique - il est grand et svelte, a le regard sombre - et son talent servi par une diction héritée de ses performances au théâtre sont utilisés dans de nombreux films. Après un premier essai dans Le Jugement de Dieu (1949) de Raymond Bernard, il se fait remarquer dans le moyen métrage d'Alexandre Astruc, Le Rideau cramoisi, adapté d'une nouvelle de Barbey d'Aurevilly. Il tourne par la suite dans de nombreuses productions commerciales, souvent en costumes : Le Grand Jeu (1953) de Robert Siodmak, Le Chevalier de la nuit (1954) de Robert Darène, le Salaire du péché (1956) de Denys de la Patellière. Dans Les Mauvaises Rencontres (1955), Alexandre Astruc lui offre un rôle lui permettant de se défaire de son image de séducteur romantique et d'être un peu plus fantaisiste. On le retrouve dans La Belle et l’Empereur auprès de Romy Schneider (1959).L'acteur espace ensuite ses apparitions à l'écran et cède progressivement la place aux jeunes recrues de la Nouvelle Vague comme Jean-Paul Belmondo. Il se tourne alors vers la chanson, mais on le voit encore dans Le Rendez-vous (1961) de Jean Delannoy, dans Angélique et le Sultan (1967) de Bernard Borderie et dans Unter den Dächern von St. Pauli (Sous les toits de Saint Paul - 1969) d'Alfred Weidenmann. Il avait joué dans d'autres films : Un grand patron - La forêt de l' adieu - Un caprice de Caroline chérie - Alerte au sud - La rage au corps - Le fils de Caroline chérie - Les lavandières du Portugal - Préméditation - Les arrivistes - La salamandre d' or - Opération Opium - Quattro rose rosse (Quatre roses rouges) - Ils étaient cinq - Le plus heureux des hommes - Les enfants de l'amour - Le Coeur frivole ou La galante comédie - Si Versailles m'était conté - I tre ladri (les trois voleurs) - Milord l'Arsouille - La Châtelaine du Liban - Guinguette - Pêcheur d'Islande - Le Fric - Die Schöne Lügnerin - La Encrucijada (Le carrefour) - Vol 272 - Poppies Are Also Flowers - Comment ne pas épouser un milliardaire - Las 4 bodas de Marisol (Les 4 mariages de Marisol) - Indomptable Angélique - Le Temps de vivre, le temps d'aimer - Le Chirurgien de Saint-Chad - Liebe läßt alle Blumen blühen... Jean-Claude avait également participé à deux pièces de théâtre, dans la série "Au théâtre ce soir" avec "Les Français à Moscou" et "Adieu Prudence". Il n'avait plus à démontrer ses qualités de comédien La chanson, avec plus d'une dizaine de titres, dont 2 participations au Concours Eurovision de la Chanson, et en obtenant un Grand Prix. Ses succès sont : Lili Marleen (en français et en allemand) - Soirée de prince - La chanson de venise - A faire l' amour sans amour - On se quitte toujours - Le bateau blanc - Et maintenant - Chanson sur une seule note - Ma jeunesse fout le camp - Les feuilles mortes - C' est joli la mer - L' amour c' est comme un jour... En 1961, il interprète "Nous les amoureux", à Cannes où il obtient la première place avec une chanson signée Maurice Vidalin et Jacques Datin (1920-1973). Si Jean-Claude n'a enregistré la chanson qu'en français, elle fut reprise, notamment en français par Jean-Paul Mauric (France 1962) ou en espagnol par José Guardiola (Espagne 1963) ; d'autres interprètes l'ont également enregistré en hollandais et finlandais. En 1981, vingt ans après sa victoire, il représente à nouveau le Luxembourg, mais à Dublin avec "C'est peut-être pas l'Amérique". Il signe la chanson avec Sophie Makhno et Jean-Claude Petit. Il obtient une honorable onzième place sur 20 candidats. Il enregistrera la chanson en français, mais aussi en version allemande "Heut' ist vieles sehr Amerikanisch". Il enregistrera par la suite de nombreux disques. Dans les années 1970 et 1980, Jean-Claude Pascal s'illustre dans de nombreuses productions télévisées (entre autres, Une autre vie, Le Temps de vivre, Le Temps d'aimer). Il publie en 1986 son autobiographie "Le beau masque", puis écrit des romans policiers et des portraits historiques, dont "L'Amant du roi" et "Marie Stuart". Jean-Claude Pascal est décédé le 5 mai 1992, juste
quelques jours avant le Concours Eurovision de la Chanson 1992, qui
avait lieu le 9 mai, depuis Malmö en Suède. |
|
PILL, Jacques (René Ducos) | Monaco 1959 - (07/01/1906 - 12/09/1970) (1959) |
|
X | Représentant de la Principauté de Monaco en 1959. | |
POTGIETER, Louis Hendrik | Allemagne 1979 - (04/04/1951 - ?? 1996) (1979) |
|
|
Louis
Hendrik Potgieter (également connu sous le nom Patrick Bailey) est né
le 4 avril 1951 à Pretoria, en Afrique du Sud. En 1975, il s'installe
en Allemagne et devient danseur dans un théâtre de Munich. Il y est
repéré par Ralph Siegel. Quand Ralph Siegel a rassemblé un groupe
pour interpréter sa chanson qui représentera l'Allemagne au Concours
Eurovision de la Chanson 1979, il a invité Louis Hendrik. Le groupe
ainsi créé a porté le nom de la chanson, Dschinghis Khan.
Après leur participation au Concours Eurovision de la Chanson 1979 à Jérusalem, d'autres succès arriveront, notamment "Moskau". A la séparation du groupe quelques années après, il repart en Afrique du Sud pour devenir directeur d'hôtel. Il décède en 1996, des complications du Sida. |
|
PLANTE, Jacques | Luxembourg 1964 et France 1966 - (1920 - 16/07/2003) (1964) (1966) |
|
X |
Auteur
prolifique qui a écrit pour plusieurs générations, Jacques Plante
fait partie de ces auteurs de la chanson française qui sortent trop peu
souvent de l’ombre. Peu de gens savent que les chansons qu’il a écrite
pour Charles Aznavour sont de son cru.
Jacques Plante est né à Paris, en 1920. Ses parents tiennent un garage, rue Cardinet. Pendant l’occupation, il écrit ses premières chansons avec son ami d’enfance Lawrence Riesner. Ce n’est cependant qu’à la libération qu’il connaît ses premiers succès, grâce à Yvette Giraud, qui interprète Mademoiselle Hortensia (1946) et La danseuse est créole (1946). Cette dernière met également à son répertoire Ma guêpière et mes longs jupons (1949), J’ai peur de revenir chez moi et Inoubliable (1953). André Claveau fait également partie des premiers interprètes de l’auteur. En 1944, il enregistre Marjolaine. Suivent, en 1953, Domino, Étoiles de neige et Le tango des jours heureux. En 1949, l’auteur écrit D’où viens-tu pour Bourvil. Ce dernier interprètera également Sophie. La même année, Les Compagnons de la chanson et Georges Guétary se partagent Maître Pierre. Les premiers chanteront encore La longue marche et Les comédiens (1962), tandis que le second fera des succès avec Mon petit bouquet de fleur (1949) et La bohème (1966). Pendant les années cinquante, Tino Rossi, qui est alors une grande vedette, met à son répertoire quelques chansons de l’auteur dont Tango bleu (1953), Chérie sois fidèle (1951) et Quand tu t’en iras. Cependant, c’est Line Renaud et Yves Montand qui vont interpréter les succès qui marquent le plus la carrière de l’auteur à cette époque. Avec Étoile des neiges (1949) et Ma petite folie (1952), Line Renaud lance deux de ses chansons fétiches. Yves Montand fait de la chanson Les grands boulevards (1951), un classique de la chanson française. Ce dernier interprète également J’aime t’ embrasser. Après cette belle série de succès, Jacques Plante est lancé. Les interprètes des années cinquante ajoutent ses chansons à son répertoire. Il écrit notamment, pour Eddie Constantine (Je vais revoir ma blonde, 1956), Anny Gould (Le musicien, 1953, Sur le pont du nord, 1954, Les printemps perdus, 1957, Le tendre piège, 1957, Quand j’aime, 1958), André Dassary (La fête aux fleurs), Jacqueline François (Serenata, 1956, La vie mondaine, 1958, L’amour est dans ta rue, 1959, J’aurais voulu danser, 1959), John William (Une île au soleil, 1956, chanson reprise par Henri Salvador) et Gloria Lasso (Diana, 1958). Pendant les années soixante, Jacques Plante amorce une fructueuse collaboration avec Charles Aznavour. En ressortent Les comédiens (1962), For me formidable (1963) et La bohème (1966), pour ne nommer que les trois chansons les plus connues. L’auteur aura également la chance d’être interprété par Édith Piaf, qui mourra quelques mois plus tard : Le petit brouillard (1963) et Les amants de Venise font partie des dernières chansons de l’interprète. Hugues Aufray chante également l’auteur. Il interprète Santiano (1961) et Dès que le printemps revient (1964), qui représenta le Luxembourg à Copenhague, et obtient une 4ème place sur 16 candidats. Hugues enregistra la chanson également la chanson en allemand et espagnol. Si les années yéyés ont été fatales à bien des artistes de la génération précédente, pour Jacques, ce sera l’occasion de se renouveler. Il signe quelques uns des plus grands succès de cette époque, montrant qu’il est un auteur capable de s’adapter à tous les interprètes. Ainsi, Richard Anthony (Tu m’étais destinée, 1958, J’entends siffler le train, 1962, À toi de choisir, 1964, Sunny, 1966), Les Chaussettes Noires (C’est la nuit, 1962), Marcel Amont (Un Mexicain, 1962), Lucky Blondo (Des roses rouges pour un ange blond), Danyel Gérard (Il pleut dans ma maison, 1964), Christophe (Ça ne fait rien) et Dalida (Tu croiras) s’ajoutent aux interprètes de l’auteur. Grâce à Jacques Plante, Pétula Clark connaît plusieurs succès en France : Chariot (1962), L’enfant do (1962), Je me sens bien auprès de toi (1963), Le soleil dans les yeux (1963), Le train des neiges (1963), Ceux qui ont un coeur (1964) en sont de bels exemples. Sheila lui doit également quelques uns de ses plus grands succès, comme par exemple L’heure de la sortie (1966), Le cinéma (1966), Les papillons (1967), Adios amor (1967) et Quand une fille aime un garçon (1968). Autre interprète fétiche de l’auteur pendant les années soixante, Rika Zaraï enregistre Michaël (1964), Prague (1966), Un beau jour, je partirai (1967) et Personne au monde (1967), entres autres. Parmi les interprètes de l’époque, il faut également citer Dominique Walter (Chez nous, 1966) qui représenta la France au Concours Eurovision de la Chanson 1966, à Luxembourg et termine 16ème sur 18 pays (la chanson sera également enregistrée en allemand par Dominique), David Christie (Malgré toi, malgré moi, La noche del verano), Mathé Altéry (J’aurais voulu danser, 1965, L’amour est dans ta rue, 1965, Jardins d’Andalousie, 1968, Un bateau s’en va), Mireille Mathieu (C’est à Mayerling, 1968) et Claude François (Un jour ou l’autre, Reste, Tout éclate, tout explose, Rêveries, 1969). Avant
de monter sa propre maison d’édition, MCA/Caravelle, et de se retirer
en Suisse, Jacques Plante écrit Vieille canaille pour Eddy Mitchell et
Quand on ne peut pas avoir la fille qu’on aime pour Shake (en 1977).
L’auteur s’éteint à Paris, en plein coeur du mois de juillet 2003.
Il était alors âgé de 82 ans. Jacques Plante fut l’un des auteurs
les plus prolifiques de la chanson française. Il nous laisse en héritage,
toutes les chansons qu’il a parsemées dans le répertoire d’interprètes
les plus variés. |
|
POPOVIĆ, Davorin | Bosnie Herzégovine 1995 - (1946 - 18/06/2001) (1995) |
|
|
Davorin Popovic (né en 1946) est décédé lundi 18 juin 2001 dans un hôpital de Sarajevo, à l'âge de 55 ans. Il avait représenté la Bosnie Herzégovine au Concours Eurovision de la Chanson 1995 à Dublin, avec la chanson "Dvadeset i prvi vijek" et il s'était classé 19ème sur 23. Davorin Popovic était très populaire dans son pays et avant de débuter une carrière solo, il faisait partie du groupe Indeksi qui eut aussi ses heures de gloire. |
|
POURCEL, Franck | France - (14/08/1913 - 12/11/2000) (Franck Pourcel et l'Eurovision) (base de données) |
|
|
Le Chef d'orchestre Franck Pourcel né le 14 août 1913 à Marseille, était un des musiciens français les plus connus à l'étranger où ses enregistrements de grands orchestres de violons se sont vendus à des dizaines de millions d'exemplaires, notamment aux Etats-Unis et au Japon. Il était un des rois de la musique légère dans les années 50-60. Violoniste de formation, il a créé son premier orchestre en 1953 et "ses cordes" sont devenus rapidement populaires grâce aux émissions de variétés de la télévision. Après deux premiers succès, "Blue Tango" et "Limelight", Franck Pourcel enregistre le tube des Platters "Only You", deux ans après sa sortie. C'est un triomphe: il vend plus de 3 millions de disques et devient le premier chef européen à dépasser le million d'albums aux États-unis. Toujours resté très discret, le chef d'orchestre a collectionné les récompenses: trois disques d'or au Japon, Prix Edison (équivalent musical de l'Oscar) pour ses arrangements, Grand prix du disque de l'académie Charles Cros en France. Formé au Conservatoire de Marseille, Franck Pourcel a également flirté avec le classique, dirigeant des formations symphoniques prestigieuses comme le London Symphony, l'orchestre de Berlin ou celui de la Société des concerts du conservatoire. Franck Pourcel fut le premier chef d’orchestre français à avoir réussi au Japon et aux États-Unis, dans les années 50 à 80, il est mort dans la nuit de samedi 11 à dimanche 12 novembre 2000 à son domicile de Neuilly des suites de la maladie de Parkinson, à l'âge de 87 ans. |
|
PRIVŠEK, Jože | Yougoslavie 1961 et 1962 (Slovénie) - (19/03/1937 - 11/06/1998) (1961) (1962) |
|
|
Compositeur
et chef d'orchestre de la première chanson yougoslave en 1961 "Neke
davne zvezde" et compositeur et chef d'orchestre de la chanson "Ne
pali svetlo u sumrak" en 1962. Il dirigea l'orchestre accompagnant
les chansons slovènes en 1993, 1995 et 1996. On lui doit également
quelques musiques de films dans les balkans : Covjek
koga treba ubiti (1979), Ko zorijo jagode (1978), Na klancu (1971), Oxygen
(1970), Sedmina, Pozdravi Marijo (1969), Ce bo deklica (1967), Na
papirnatih avionih (1967), Zgodba ki je ni (1967), Minuta za umor (1962).
Jože Privšek, né le 19 mars 1937 à Ljubljana (Slovénie), est décédé le 11 juin 1998.. |
|
PROESKI, Toše | ARY Macédoine - (25/01/1981 - 16/10/2007) (2004) |
|
|
Toše
Proeski, né le 25 janvier 1981 à Prilep (en Ancienne République
Yougoslave de Macédoine) était un chanteur très populaire en
Ex-Yougoslavie. Il est mort brutalement le 16 octobre 2007, dans un
accident de voiture à Nova Gradiška, en Croatie.
Il se fait connaître au Festival "Melfest" de 1996, et devient star après le "Makfest" de 1997, où il interprète "Pusti me" (Laissez-moi partir). En 2000, il chante en duo avec Karolina Gotchéva et en 2004, il est sélectionné par la télévision nationale MKRTV, pour représenter le pays au Concours Eurovision de la Chanson, à Istanbul. Il termine 10e en demi-finale et 14e en finale avec la chanson en anglais "Life is...". En août 2004, il est nommé ambassadeur national de l'UNICEF, pour l'ARY de Macédoine. Toše a enregistré plusieurs albums en macédonien : en 1999 "Nekade vo nokta" (Quelque part dans la nuit) ; en 2000 "Sinot božji" (Le Fils de Dieu) ; en 2003 "Ako me pogledneš vo oči" (Si vous regardez dans mes yeux), également enregistré en croate ; en 2004 "Den za nas" (Un jour pour nous), également enregistré en croate ; en 2005 "Po tebe" (Après vous), également enregistré en croate ; en 2006 "Božilak" (Arc-en-ciel) et en 2007 "Igri Bez Granici" (Jeux sans frontières), également enregistré en croate. Il meurt un jour d'octobre 2007, à 6h30,
dans un accident de voiture. Son véhicule est entré en collision avec un
camion, sur l'autoroute reliant Zagreb Lipovac (en Croatie) à Belgrade
(Serbie), à proximité de la ville de Nova Gradiška. Les deux autres
occupants ont survécu à l'accident, son manager Ljiljana
Petrović et Georgij Georgijevski, tandis que Toše trouve la
mort avant l'arrivée des secours. Le
pays fut très marqué par la disparition tragique de Toše Proeski,
né Todor "Toše" Proeski (Тодор
"Тоше"
Проески en macédonien),
l'émotion dépassant les frontières des Balkans. |
POURCEL, Franck (à l'Eurovision) | France - … 12 novembre 2000 … |
|
|
mise à
jour de la page le
samedi 25 mai 2013
|